Freiner les retards de prise en charge
La crise sanitaire a poussé certains d’entre nous à retarder, voire à annuler des soins. C’est notamment le cas de patients atteints de symptômes maculaires ou suivis pour maculopathie par leur ophtalmologiste. Peur de se rendre chez son médecin, volonté de désengorger les cabinets… Les raisons de repousser les soins sont nombreuses pour les patients. Or, la maladie ne se met pas « en pause » et il est impératif que les personnes concernées suivent les soins et traitements appropriés, au risque de voir les symptômes progresser.
C’est le message principal insufflé lors des Journées nationales de la macula, qui se tiennent cette année du 23 au 28 novembre.
Au programme : information et sensibilisation !
Habituellement, les journées nationales de la macula s’accompagnent d’une grande vague de dépistage des populations cibles à l’hôpital ou en cabinet ophtalmo. Crise sanitaire oblige, les Journées s’adaptent au contexte et proposent des actions d’information et de sensibilisation.
Ces opérations visent notamment à inciter les patients atteints de maladie de la macula à ne pas interrompre leurs soins.
Et surtout, à inviter les patients symptomatiques à consulter leur ophtalmologiste sans attendre : 75 CHU et 205 médecins libéraux sont inscrits pour accueillir ces patients dans les meilleures conditions. La liste est disponible sur : http://www.journees-macula.fr/presentation/les-centres-partenaires-des-journees
